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" Et maintenant !"
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un Parrain ...

  « et maintenant ! »
Dimanche 14 novembre 2010 une page, la dernière  a laissé apparaitre l’expression  béninoise  « N kua sin teru » en deux mots : « à bientôt  ! » Comme on dit au revoir avec cette ferme conviction que nous nous reverrons !
Et le Livre s’est refermé.
Mais des pages sont froissées, certaines sont usées ou  même déchirées et laisseront ainsi encore longtemps échapper les effluves de cette belle aventure !
Il reste encore les ultimes «devoirs » : rendre les comptes,  statuer sur le reliquat de l’argent  s’il en est, puis honorer encore telle ou telle demande. Mais maintenant chacun va reprendre « sa liberté, »  poursuivre son chemin,  je l’espère, plus fort, d’une aventure, d’une expérience, et d’amitié ...

L’Association Là-Bas a le devoir de poursuivre et d’embellir encore les pas écrits sur la latérite béninoise.  Et nul ne doute que vous y avez tous une place privilégiée, si vous le désirez !

Ce week-end fut encore l’occasion d’un moment intense !
Intense par la relecture d’un chemin accompli.
Intense par vos regards emprunts  de cette fierté d’avoir mené  au mieux ce projet, jusqu’au bout, malgré les embuches, les hésitations, parfois la lassitude, et les petits coups de gueule !
Personnellement, il y a belle lurette que je ne crois plus que la vie est un long fleuve tranquille !
Elle est bien d’avantage comme la voie qui mène de Cotonou à Parakou, faite et refaite, pour aller, venir, revenir,  retourner,  pour le marathon  de la vie !

Intense encore par la qualité du travail de chacun, chacun  avec sa dose, son talent !

Intense enfin car  il ne s’agit pas d’une perfection qui se referme ou se met en mémoire mais d’une perfection annoncée, en devenir, encore, en train de grandir. Pourtant  il ne doit pas  y en avoir  une ou un de nous qui n’ait pas  grandi  dans ce défi !  Thym

Dimanche 14 novembre 2010 une page, la dernière  a laissé apparaitre l’expression  béninoise  « N kua sin teru » en deux mots : « à bientôt  ! » Comme on dit au revoir avec cette ferme conviction que nous nous reverrons !
Et le Livre s’est refermé
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à suivre