Un chemin qui presque, s’évanouit et nous perd et nous égare.
Une marche à laquelle nous aurions pu renoncer à biens des égards.
Mais un chemin qui s’est accompli, peuplé, comblé, veinard !

Alors voilà un an déjà !  Que le temps roule et se déroule.
Les grains de temps plaisants ou réprimés entre nos doigts se défoulent

L’index mouillé tourne la page, l’œil parcours le Livre en partisan :

« Un jour est comme mille ans
comme un jour sont mille ans (2 Pi 3.8 ) »

 

J’allais  presque oublier ce dix huit août  2007

Il y a un an du CHF Burkina-Bénin nous rentrions sans tempête
 

 

Nous étions encore dans un entre-deux...
Et pas seulement entre deux nuages qui offrent turbulences et creux

à suivre